Auteur : Sophie George
Illustrateurs : Caroline Guérin – Inger Lorsignol – Léopold Duchemin – Sophie George

Pour cette 5e édition, Le vêtement de A à Z s’enrichit d’un nouveau chapitre dédié aux vêtements religieux portés par les adeptes des six religions les plus représentées dans le monde – christianisme, islam, hindouisme, bouddhisme, sikhisme et judaïsme. Les vêtements spécifiques aux mouvements développés au sein des ces religions sont également pris en compte, à l’exemple des vêtements du temple mormons (chrétiens), du bekeshe hassidique (juif), du tchador chiite (musulman) ou encore du sitar wahhabite ou salafiste (musulman).
Nota bene : les 80 pièces d’habillement (vêtement, voile, tenue entière) présentées dans ce chapitre sont exclusivement celles portées par les adeptes de telle ou telle religion afin de respecter les règles cultuelles définies par celle-ci. La garde-robe des religieux (prêtre, nonne, pasteur, imam, rabbin, moine…) n’a pas été prise en compte dans cette édition.
Avec cette 5e version du Vêtement de A à Z, le lecteur pourra…

• faire la distinction entre des vêtements faisant l’objet de fréquentes confusions à l’exemple des hijab, jilbab, burqa, niqab, tchador et abaya,
• constater que la plupart des mouvements religieux fondamentalistes (chrétien, musulman ou juif) imposent un vêtement dit « modeste » à ses fidèles,
• découvrir que les vêtements traditionnels de pays tels que l’Indonésie se confondent avec les vêtements religieux
• et, plus édifiant encore, prendre conscience que dans des pays tels que l’Inde nombre de religions ont en commun les mêmes vêtements cultuels…

De même que pour les autres entrées de l’ouvrage, chaque vêtement religieux fait l’objet d’un descriptif, d’une illustration, d’un éclairage sur son origine et son nom est traduit en anglais.
A l’heure où le vêtement religieux suscite de nombreuses polémiques dans la société française, Le vêtement de A à Z est non seulement l’outil qui aide à mieux discerner ses diverses formes, mais il livre également des pistes de réflexion sur l’importance croissante de son usage à l’aube du XXIe siècle.